Mes raisons de participer à ce site de mémoire familiale autour de Jean et Simone, mes parents, vos grands-parents ou arrières grands-parents , et du Khanguet, ce lieu du monde où ils ont vécu leur enfance pour Simone, leurs adolescences et leurs âges adultes pour tous les deux, là où ils ont fondé cet ensemble familial dont nous faisons partie est de répondre à votre demande clairement exprimée ces derniers temps (merci Sibylle et Anne Véro) perçue à travers le réseau Whatsapp « cousins Rozières» de plus en plus actif en cette période de confinement ou entendue au cours des innombrables échanges avec l’un ou l’autre d’entre vous depuis 60 ans.
C’est aussi de retrouver les racines de cet «Esprit de famille» qui nous fait si solidaires par-delà nos diversités qui sont bien réelles.
C’est un travail éprouvant, je ne m’y serais jamais engagée si Paul et Christine n’étaient pas montés dans le même bateau. Nous sommes les trois derniers vivants de la fratrie, nous pouvons donc évoquer des souvenirs incarnés dans le réel. Nous sommes différents ce qui devrait vous permettre de glaner librement les souvenirs qui vous parlent.
Je choisis donc de raconter des histoires et des souvenirs. Aujourd’hui je commence par un texte écrit, une autre fois il pourra être oral que vous pouvez lire dans les articles qui suivent.
Mes raisons de participer à ce site de mémoire familiale autour de Jean et Simone, mes parents, vos grands-parents ou arrières grands-parents , et du Khanguet, ce lieu du monde où ils ont vécu leur enfance pour Simone, leurs adolescences et leurs âges adultes pour tous les deux, là où ils ont fondé cet ensemble familial dont nous faisons partie est de répondre à votre demande clairement exprimée ces derniers temps (merci Sibylle et Anne Véro) perçue à travers le réseau Whatsapp « cousins Rozières» de plus en plus actif en cette période de confinement ou entendue au cours des innombrables échanges avec l’un ou l’autre d’entre vous depuis 60 ans.
C’est aussi de retrouver les racines de cet «Esprit de famille» qui nous fait si solidaires par-delà nos diversités qui sont bien réelles.
C’est un travail éprouvant, je ne m’y serais jamais engagée si Paul et Christine n’étaient pas montés dans le même bateau. Nous sommes les trois derniers vivants de la fratrie, nous pouvons donc évoquer des souvenirs incarnés dans le réel. Nous sommes différents ce qui devrait vous permettre de glaner librement les souvenirs qui vous parlent.
Je choisis donc de raconter des histoires et des souvenirs. Aujourd’hui je commence par un texte écrit, une autre fois il pourra être oral que vous pouvez lire dans les articles qui suivent.
Laurence MARES